Parenthèse : Le chef de course ayant oublié de solliciter les participants pour la rédaction du rapport, il vous faudra vous contenter de sa version des événements.

Partie de la gare de Puidoux à 9heures cette course d’automne nous a menés par des chemins de terre et par quelques petites routes bitumées jusqu’au funiculaire du Mont-Pèlerin. C’est malheureux, mais le départ s’est fait sans café. Conciliants, les participants l’ont admis sans râler.

Après la traversée des habitations de Puidoux-gare c’est une petite route qui nous amène jusqu’au stand de tir de Chexbres où commence une agréable montée en forêt par le sentier des sculptures. Sortis de la forêt et arrivés au plat, on laisse Crêt-Bérard derrière nous pour traverser Vers-la-Chapelle. C’est ensuite un chemin bucolique et campagnard jusqu’à La Crosse.

C’était annoncé, voilà le bitume. Nous l’empruntons jusqu’au pied du grand pâturage qui mène au Mont-Chesau. Il est quasiment 11 heures, donc petite pose.

La troupe s’agaille en montant sur le pâturage et se regroupe au pied du Mont-Chesau. On admire la vue sur le Léman et on s’installe pour le pique-nique et l’apéro tricolore (blanc, rosé, rouge).

Repus et détendus, nous contournons le Mont-Chesau, seul Jean-Luc en fait la difficile ascension (pensez, au moins 15 mètres) et nous dit qu’il est très satisfait du coup d’œil que l’on a de ce point culminant.

C’est à travers pâturage que l’on rejoint le chemin de Maison-Blanche. On poursuit la descente en faisant un grand Z, car juste avant Perey-Véry, crac, on tire à droite pour emprunter un très agréable chemin que nous suivrons pour arriver au Mont-Pèlerin. Enfin.. c’est ce qui aurait dû arriver si d’aucunes, prises dans des conversations passionnantes, n’avaient pas raté une bifurcation et semé le trouble. Remises finalement sur le droit chemin, elles ont rejoint le reste de la troupe chez la marchande de glace.

Cette narration devrait s’achever ici, mais… après funiculaire et train, une des participantes nous a incités à l’accompagner chez une amie, et l’amie en question étant elle-même une amie de la vigne, la course s’achève sur quelques verres de blanc et de rouge du pays.

Ont mis le même chemin sous leurs chaussures : Marlyse, Paulette, Nicole et Michel, Martine et André, Anik, Jean-Luc, Pierre-Yves, Sylviane et Raymond.

Le rapporteur : Raymond