A 07h30 précise François répartit les travaux. Le travail ne manque pas si nous voulons passer partout.

Le ballet des balais accompagné de la musique des aspirateurs est digne d’un opéra. Attention, il ne faut oublier aucun coin et même recoin.

Sous la baguette de Jean-Luc maître expérimenté de la partition « dortoirs » Anik, Véronique, Karin et Stéphane démonte tous les lits afin de débusquer le moindre minon et éliminer sans pitié la poussière.

Comme tous les draps ont été lavés par notre caissière, il faut les remettre à leur juste place, ce qui n’est pas aisé car les matelas ne sont pas tous de la même grandeur (les tailles des oreillers ont été repassées par Olivier qui a vraiment plusieurs cordes à son arc).

Du plafond au sol il faut passer partout afin de rendre ces endroits sains. Il faut l’avoir fait une fois pour connaître l’ampleur de la tâche, il y a 4 dortoirs qui demandent de retrouver une propreté sans faille.

Le reste du chalet n’est pas oublié, Pierre-Yves et Olivier sont chargés du réfectoire. Ce n’est pas un hasard s’ils ont été choisis, au vu de leurs grandes tailles, ils peuvent œuvrer sans échelle. Là aussi il faut de la volonté afin de dénicher les moindres bouts de scotch laissés sous les tables et ne pas oublier que sur les poutres tout là-haut la saleté a réussi à s’accrocher.

Marie-Jo volontaire pour rendre les sanitaires comme neufs ne s’est pas ennuyée. Si les membres nettoient après leurs passages il faut faire une poutze plus sérieuse lors de cette corvée pour avoir un niveau sanitaire sans reproches.

Daniel et moi nous attaquons au sous- sol et aux verres vides. Nous constatons que quelques vieilleries pourraient aussi faire partie du voyage à la déchetterie. A force de faire le tri, c’est avec deux voitures que nous devons descendre à Châtel-St-Denis.

Vers 09h, François a préparé une petite collation où nous pouvons reprendre des forces et cela est indispensable car le bal continue. C’est heureusement dans la bonne humeur que le labeur s’effectue car il faut vraiment mettre de l’huile de coude pour arriver à nos fins.

L’apéritif est mérité et cela fait du bien de s’assoir un moment. Après tous ces efforts le repas est apprécié à juste titre.

Merci à tous ces membres qui ont sacrifié un jour de repos pour redonner tout son lustre à notre beau chalet !

Le président