Martine et André, nos chefs de course pour cette journée, nous avaient donné rendez-vous à 9h00 à la Lécherette. Nous nous sommes tous retrouvés sur le parking. En plus des chefs déjà nommés, il y avait Anik, Françoise, Sylviane, 2 Marlyse (ne me demandez pas laquelle s’écrit avec un i et laquelle porte un y, je n’en sais rien), Jean-Claude, Jean-Luc et moi. Ah ! j’oubliais les deux chiennes, ce sont des habituées.

Face au parking, il y a un bistrot dont les portes sont closes depuis longtemps, et probablement pour longtemps encore. La course démarre donc sans café.

Une fois les véhicules abandonnés au bord de la route, au point 1422, nos dix paires de chaussures lacées nous attaquons le sentier qui monte à travers les hautes herbes et les superbes fleurs des pâturages pas encore broutés. Nous suivons ensuite et pour un moment une petite route que nous abandonnons pour reprendre une montée assez douce sur un terrain assez marécageux.

Au point 1613, petite pose derrière un magnifique chalet que la propriétaire nous fait visiter. Et on reprend tranquillement la montée jusqu’à l’auberge des Monts Chevreuils (1661). On ne s’y arrête pas, mais on monte encore 50 mètres sur la petite route qui se termine à la dernière ferme où nous retrouvons Jean-Luc qui nous avait abandonnés plus bas pour faire en solitaire un parcours plus musclé. De là c’est une rude montée dans le pâturage pour atteindre le sommet à 1749 mètres. Petit verre de blanc et pic-nic.

Et c’est la descente. La moitié de la troupe prend le même chemin qu’à l’aller et l’autre moitié opte pour la route qui descend plus tranquillement.

Une belle course, on s’en est mis plein les yeux. Merci Martine, merci André.

Raymond