Vue sur cinq lacs
Autant vous le dire de suite : le titre de cette course est fallacieux. Ce ne sont pas cinq mais six lacs qui se sont offerts à notre vue. Pour les puristes en voici la liste
- le plus gros: Le Léman
- le plus grand entièrement en Suisse: le Lac de Neuchâtel
- le plus alémanique: le Lac de Morat
- le plus petit: le Lac Brenet
- le plus combier: le Lac de Joux
- le moins suisse: le Lac des Rousses
Mais revenons à nos moutons. 9h chez Hohl à l’Isle c’est sacré: aucun retard à signaler. Les douze inscrites et inscrits sont présent, à savoir:
- Organisateurs: Sylviane et Raymond
- Participantes: Anik, Martine, Christine (amie d’Anik) et Janine
- Participants : André, Michel, Jacky et Jean-Luc
- Du club 7 au chalet: Evelyne et Philippe
Après quelques croissants, cafés et autres, Raymond propose, pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer, de scinder le groupe en deux: les vrais mardistes (rythme mémère promenant son chien) et les vrais marcheurs (frôlant les 4 km à l’heure). Les mardistes partiront depuis Pétra-Félix et les marcheurs depuis le col du Mollendruz. Il s’en suit de valses hésitations pour savoir où les marcheurs normaux se situent par rapport à cette démarcation. Bref après un bon quart d’heure de réflexion chacune et chacun a pris sa décision. Je vous ferai grâce ici des atermoiements pour remplir les voitures menant à deux lieux différents.
Vers les 10 heures nous nous mettons en marche. La canicule est encore aux abonnés absents et c’est avec une température agréable que les deux groupes rejoignent le sommet de la Dent de Vaulion, presque simultanément. Vue imprenable sur les lacs. Il est temps de prendre l’apéro. Finalement ce ne sont pas moins de 4 bouteilles qui sortent des sacs: 3 vaudois et 1 neuchâtelois (merci Philippe).
Le point culminant de la journée atteint nous nous restaurons également au même endroit. Et après la petite sieste nous sommes fin prêts pour redescendre.
Facile pour le souffle, un peu moins pour les articulations du genou. Une montée finale vers Petra-Félix clôt cette balade. Janine nous fait un petit malaise juste avant l’arrivée, sans gravité heureusement. L’occasion de tester les talents de secouristes de nos deux sœurs infirmières.
Et pour nous remettre de toutes ces émotions quoi de mieux qu’un second pèlerinage chez Hohl, histoire de se rafraîchir avant de nous quitter dans l’attente de nouvelles aventures.
Bien que déplorant l’absence du loup (à prévoir lors d’une prochaine sortie dans le coin) un tout grand merci aux gentils organisateurs de nous avoir fait redécouvrir ces lieux enchanteurs.
Jean-Luc
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